Ce nouveau standard constitue une étape très importante mais, déjà, une nouvelle évolution pointe à l’horizon. Prévu pour entrer en service en 2025, le Rafale F4 améliorera notamment la connectivité de l’avion et sa capacité à opérer en réseau. Ce futur standard devra répondre à la problématique du développement des concepts de déni d’accès. Il permettra d’accroître les opérations en réseau grâce à une connectivité améliorée et d’accélérer le cycle de décision et d’engagement. Les capacités offensives comme défensives de l’avion face aux nouvelles menaces seront accrues. Le F4 comprendra une évolution de la motorisation ainsi que des capteurs et armements, dont le nouveau missile air-air Mica NG. On notera par ailleurs qu’en 2016, juste avant de partir pour la Méditerranée orientale, un Rafale Marine mis en œuvre depuis le Charles de Gaulle a conduit une évaluation opérationnelle avec la GBU-24 Paveway III. Pesant 10 tonnes à vide et disposant de 14 points d’emport, le Rafale Marine offre une masse maximale au catapultage de 24 tonnes, avec par conséquent jusqu’à 14 tonnes de carburant et de munitions. L’avionneur américain est empêtré dans des coûts de développement qui ne cessent de grimper et renchérissent le prix de vente de chaque appareil. Le PDG de Dassault se verrait donc bien convaincre le Canada, la Belgique ou la Finlande, déjà en affaire avec les Américains, de changer leur fusil d’épaule. L’optimisme est loin d’être le même pour les Falcon, dont les ventes sont à la peine. Le carnet de commandes n’en comporte plus que 63, contre 91 l’an dernier. Plusieurs clients ont en effet déchiré leur contrat. Résultat: les clients sont allés voir ailleurs, et notamment chez le concurrent américain Gulfstream. Interrogé sur les pénalités qu’il va réclamer à son fournisseur, le PDG de Dassault se contente d’une réponse énigmatique, destinée à ne fâcher personne. Dassault éprouve d’autant plus de difficultés à vendre ses jets que, sur le marché de l’occasion, les prix sont en baisse. Résultat: les propriétaires hésitent à brader leur avion pour en acheter un neuf. Enfin, Dassault souffre d’un problème de gamme. Le gros du marché se situe aujourd’hui aux Etats Unis, pour des appareils à long rayon d’action, capables de traverser le pacifique pour relier l’Asie. Or, un Falcon peut parcourir, au maximum, 12 000 kilomètres, quand Gulfstream propose un modèle capable d’en aligner 1 000 de plus.
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Des fissures au niveau de la fixation du stabilisateur ont été détectées fin décembre sur plusieurs Sukhoi SSJ100. Ce défaut constaté sur environ 30% des appareils en service sera totalement corrigé d’ici la fin du mois assure l’avionneur russe. Quel est le poids d’un siège éjectable d’un avion de chasse ? Les sièges éjectables d’un avion de chasse ont permis de sauver bien des vies depuis leur apparition dans les années 40. Leur poids est une donnée importante dans le processus d’éjection et pour la performance de l’avion. L’industrie aéronautique russe était en 2007 portée largement par le militaire. Mais le consortium d’Etat OAK qui regroupe l’ensemble des avionneurs russes, s’était donné comme objectif de renverser ce ratio d’ici 2025, vol fouga magister de construire deux tiers d’avions civils pour un tiers d’avions militaires. Force est de constater que cet objectif à peu de chance d’être atteint. La priorité de Moscou est bien dans les avions de combat et les hélicoptères d’attaque. La relation militaire franco-américaine est plutôt bonne du fait de l’action commune en Afrique et des convergences de vue sur le Moyen-Orient. Néanmoins l’excellence des rapports entre les deux pays doit être nuancée au regard de la concurrence acharnée qu’ils se livrent dans le secteur des ventes d’armement. Cette fiche met en exergue la compétition déséquilibrée entre le Rafale français et le F35 américain. Le F35 (ou Joint Strike Fighter), l’avion de chasse construit par Lockheed Martin a beau être critiqué, il n’en reste pas moins un adversaire redoutable pour le Rafale. En séduisant des pays européens, il est un vecteur de destruction de l’industrie aéronautique de défense européenne et obère les capacités des pays qui le choisissent à concevoir leur propre avion et à conserver une indépendance stratégique. Des pays européens contributeurs à l’Eurofighter ont déjà fait le choix du F35, renonçant par là-même à maintenir une industrie nationale.
L’avionneur français Dassault aviation se retire de l’appel d’offre officiel en Belgique pour remplacer la flotte d’avions de combat F-16. Mais la France n’a semble-t-il pas dit son dernier mot dans ce dossier, avec une probable offre de gouvernement à gouvernement. La réaction française de quitter la table de l’appel d’offre officiel est motivée par le fait que le cahier des charges belge est visiblement un peu trop favorable à l’avion américain Lockheed-Martin F-35A « Lightning II ». Les avionneurs suédois Saab et l’américain Boeing ont eux aussi définitivement quittés la compétition pour les mêmes raisons. Une offre de indirecte ? Pour autant, la France semble vouloir tenter le tout pour le tout avec une offre de gouvernement à gouvernement en contournant ainsi la compétition officielle. Selon la Ministre de la Défense Florence Parly, : une offre devrait être faite au gouvernement Belge avec le Rafale et comprendra également des offsets en matière de coopération industrielle. Du côté belge, cette décision semble agacé le Ministre belge de la défense Steven Vandeput qui dénonce une action qui n’a aucun sens, étant donné que la procédure de sélection n’a pas encore débuté.
Savez-vous comment fonctionne un avion? La peur de prendre l’avion est souvent due au manque de compréhension de son fonctionnement. Nous avons peur de ce que nous ne connaissons pas et l’instinct prend naturellement le dessus sur la logique. Comprendre comment vole un avion n’est pas simple. Mais après quelques explications, cela peut vous aider très concrètement à appréhender positivement votre prochain vol. Comment vole un avion ? Petit rappel : l’air est un mélange de gaz transparent mais dense (1,2 kg/m3 à 20 °C). Le fait que l’air soit invisible, renforce l’incompréhension, car on voit la route lorsque l’on roule en voiture, l’eau en prenant le bateau, mais en avion, on ne voit que du vide, alors que ça n’est pas le cas. Cette force se nomme portance et s’oppose à l’action du poids de l’avion. Plus la différence de vitesse est élevée, plus cette force est importante. La poussée des moteurs, qui fait avancer l’avion, est opposée à la traînée qui ralentit l’avion. Ce sont les porteurs d’eau sortis tout droit d’un autre temps. Ils gagnent leur vie grâce à leur accoutrement folklorique très couleur locale ! On peut les photographier pour un euro mais personne ne se hasarde à boire l’eau qu’ils transportent. Nous empruntons l’un des passages qui débouchent sur la place. Les véhicules motorisés ou non circulent de tous côtés. Habits et objets locaux de toutes sortes sont exposés au regard des passants. Il suffit d’en montrer du doigt pour se faire agripper par un vendeur dont on a grand mal à se défaire si on n’achète pas. En nous éloignant, nous arrivons dans les quartiers populaires aux ruelles de plus en plus étroites. Les ménagères s’approvisionnent en fruits et légumes frais qui garnissent les étals des maraîchers. Des poulets vivants dans des cages au fond des boutiques de volaillers attendent d’être sacrifiés avant de finir en tajine ou dans un couscous. Les bouchers exposent des quartiers de viande pendus à l’extérieur, des têtes d’ovins ou de bovins attirent une quantité de mouches qui tourbillonnent autour.