C’est en décembre 1983 que cinq pays européens se réunissent pour la base d’un projet commun d’avion multi-rôles (le futur Eurofighter), on y décompte les états-majors suivants : Allemand, Britannique, Espagnol, Français et Italien. Dès 1984, la France quitte le projet indiquant qu’il préfère un avion multi-rôles, plutôt qu’un avion de supériorité aérienne. Dans le contexte de Guerre froide, les quatre autres état majors envisageaient plus un avion de combat pur et dur, plus qu’un avion qui serait capable d’accomplir des missions diverses. La dénomination de l’avion évoluera au fur à mesure du temps, à la base EFA (pour European Fighter Aircraft) puis Eurofighter ensuite Eurofighter 2000, et saura enfin nommée Eurofighter Typhoon. En 1992, et avec plus d’un an de retard sur le projet initial et suite à des réductions budgétaire, l’Italie et l’Espagne mettes le projet en suspens. L’Allemagne quant à elle veut réduire de 30% car le coût de l’avion est estimé trop chère pour les budgets militaires de l’époque. Ces compagnies nous font confiance. Nous vendons leurs billets sur une seule plateforme. De nombreux vols pas chers sont disponibles si vous réservez votre billet d’avion à l’avance. Comment trouver un vol ? Il est parfois difficile de s’y retrouver, tant le nombre de compagnies aériennes assurant des vols en Europe est important. GoEuro, comparateur de bus, trains et vols, vous aide à y voir plus clair. Avec le meilleur comparateur de vol GoEuro, planifiez votre voyage, faites une seule recherche vol, comparez et achetez vos billets d’avion en ligne, avec la garantie de trouver le trajet le plus adapté à vos besoins ! Où que vous soyez, l’application GoEuro vous permet de trouver le vol que vous cherchez en temps réel sur votre téléphone. Découvrir l’application GoEuro maintenant ! ✓ Réservez rapidement ! ✓ Comparez les trajets ! ✓ Les meilleurs prix ! ✓ Paiement sécurisé ! Vol dernière minute ?
04-2 (CCCP-77108) n’a jamais été exploité par Aeroflot. Cet appareil ne fit que 50 vols, vol en avion de chasse d’une durée de 68 heures et ne passa que 6 heures à vitesse supersonique. Il se trouve au musée de Samara State Aerospace University (de). 05-2 (CCCP-77109) fut l’un des deux appareils utilisés pour des vols commerciaux sur la route Moscou – Alma-Ata. 06-1 (CCCP-77110) était le second appareil qui fit des vols commerciaux avec le CCCP-77109 sur la même route. L’appareil se trouve à Ulyanovsk au musée de l’aviation civile. 06-2 (CCCP-77111) ne fit que 5 vols pour une durée totale de 9 heures. Il réalisa un atterrissage forcé à Iegorievsk, à la suite d’un incendie à bord, le 23 mai 1978, moins d’un mois après son premier vol. 07-1 (CCCP-77112) a été racheté par le musée automobile et technologique de Sinsheim. En octobre 2000, le nez, les ailes, la dérive et la queue ont été retirés et l’avion fut transféré sur une barge pour un voyage de Moscou jusqu’à Sinsheim en passant par la mer Baltique. Si la chute de l’URSS entraîne une chute des budgets militaires, et concrètement des baisses régulières du nombre de Rafale prévus, la proportion de Rafale B va elle augmenter jusqu’à devenir l’épine dorsale de la flotte entière. Dès 1991, l’Armée de l’Air souhaite que 60% de ses Rafale soient des biplaces. Cette proportion semble être descendue à 40% un peu plus tard. Ainsi, en 1992, 294 Rafale sont prévus, dont 139 biplaces. En 2008, 8 appareils sont placés en option et on arrive à une cible de 286 appareils. En 2013, la cible n’était plus que de 225 avions de combat au total pour l’Armée de l’Air comme pour la Marine, Rafale compris. Les commandes effectives depuis 2010 sont de 180 Rafale, dont 63 biplaces. 3 premiers Rafale B furent livrés au CEAM en décembre 2004, pour des essais qui durèrent 2 ans. Le Rafale B entre en service au sein du 1/7 Provence le 26 juin 2006. Dès janvier 2007, 3 d’entre eux participent au TLP.
Enfin, un générateur d’oxygène embarqué (On-Board Oxygen Generation System, OBOGS) fabriqué par Air liquide sert à augmenter la teneur en oxygène de l’air prélevé au niveau d’un compresseur du moteur afin qu’il soit fourni directement aux pilotes. Avec l’OBOGS, la production d’oxygène est quasiment infinie et facilite la logistique : pas de production au sol, ni de chargement et d’installation des bouteilles à bord. ] ; en comparaison au Mirage 2000, le Rafale utilise 7 % de matériaux composites en plus. ]. Enfin, le nez, où se situe le radar, est en kevlar. Le Rafale est un avion semi-furtif, la configuration à aile delta et plans canard n’étant pas la configuration optimale en termes de furtivité puisque les points d’emport des armes sont uniquement placés à l’extérieur. ]. Les entrées d’air ont par ailleurs été placées de telle sorte qu’il soit impossible d’avoir une vue directe sur les moteurs, principale source d’émission radar. Outre les matériaux composites, des matériaux absorbant les ondes radar ont également été utilisés ; la verrière est ainsi recouverte d’une fine couche d’or.
Mon premier souci aura été le temps de séchage. In fine, j’ai effectué des tranchées dans mon apport de plastique afin d’accélérer son durcissement. Mon second problème est venu de la mise en forme du nez. Partant, d’un plastique tantôt mou (kit), dur (apport de plastique) et très dur (carte de crédit), j’ai eu bien du mal à trouver le juste dosage dans le ponçage. Lorsqu’on regarde le profil du nez, les on discerne nettement le côté non rectiligne du poncage. Avec tous ces tests, j’avais presque fini par oublié qu’il s’agissait d’un kit J’ai finalement assemblé les dérives et ailerons. Le tout est collé à la cyano gel. Je n’étais pas fan de cette colle mais j’ai de nouveau choisi de tester et juger sur pièce. C’est sympa finalement ! … les tuyères en silver de chez Daler et Rowney (trouvé chez Art & Créations). Après plusieurs déboires avec l’humbrol Metal cote, j’avais envie de tester de la peinture métal en acrylique. A l’application, la peinture paraît assez grossière mais s’étend assez bien au séchage.