Demandez à n’importe quel pilote et il vous dira qu’un bimoteur est meilleur qu’un moteur simple. Généralement, et particulièrement dans l’industrie aéronautique, cette règle est vraie, aviation à condition bien sûr que le pilote sache tirer parti d’un bimoteur.
Sans aucun doute, le second moteur offre au pilote et aux passagers une certaine sécurité grâce à la redondance. Toutefois, cette sécurité peut s’évaporer rapidement si le pilote est incapable de tirer parti des caractéristiques ou des avantages d’un bimoteur par le biais du système de surveillance de l’avion.
Un système de surveillance d’aéronef monomoteur est relativement simple. Les défaillances imminentes sont beaucoup plus faciles à détecter et à prendre les mesures correctives appropriées. Quand il s’agit de jumel fr. système de surveillance des aéronefs, cela devient un peu plus compliqué.
Un système de surveillance d’aéronef bimoteur contient évidemment deux fois plus de données qu’un engin simple. système de surveillance des aéronefs. Les deux ensembles de chiffres doivent être lus ensemble et le pilote doit comprendre comment chacun d’eux est connecté à l’ensemble correspondant du deuxième moteur. Le pilote doit également définir les bons paramètres d’alarme afin que, s’il ya un en. en cas de panne grave, le pilote peut réduire la vitesse et l’altitude et atterrir aussi vite que possible avant l’arrêt du moteur.
La combinaison d’un système moderne de jauges d’avion numériques, conjuguée à la présence d’un deuxième moteur, peut parfois donner au pilote un sentiment de fausse sécurité. Le simple fait est que, si un aéronef eng. la perte de puissance n’est pas proportionnelle – elle se situe généralement autour de 80% ou plus et s’il ya des passagers à bord, elle ne pourra pas maintenir l’altitude et la vitesse.
Le moment le plus critique pour les aéronefs bimoteurs est celui du décollage et de l’atterrissage. C’est à ce moment que la moitié des accidents se produisent. Pour éviter les accidents et les collisions lors de ces phases critiques, le pilote doit revoir en profondeur les données de performance de l’aéronef. Grâce aux dernières jauges de carburant, notamment celles fabriquées par J P Instruments, les données de performance peuvent être facilement téléchargées et analysées.
Lors de l’examen des données de vol, le pilote doit utiliser des estimations très prudentes de la distance de décollage et des performances en montée répertoriées dans le manuel d’utilisation. De plus, avant chaque vol, le pilote doit décider si un vol en toute sécurité peut être maintenu après la perte d’un moteur. Dans la plupart des cas, la réponse est non.
Avant le vol, le pilote devrait mettre les moteurs en marche et observer attentivement le système de surveillance de l’avion pour voir si son avion développait sa pleine puissance. Les problèmes d’alimentation, le cas échéant, peuvent être détectés en portant une attention particulière à la jauge de l’avion.
La vie d’un seul eng. pilote est moins compliqué et les décisions plus faciles à prendre. Si le moteur dans un seul fr. l’appareil tombe en panne, le pilote glisse et atterrit dès que possible! Il n’y a pas deux manières à ce sujet. De même, lors du décollage, si le moteur tombe en panne, tout ce que le pilote peut faire est de décider quoi ne pas frapper à la fin de la piste.